• Foire aux questions

Voici des questions que vous avez peut-être envie de me poser…

Mon approche s’inspire de plusieurs approches et il m’est difficile de lui donner un nom en particulier.

Ce qui me caractérise est la relation de partenariat que nous allons établir ensemble dès la première rencontre.

Il est important pour moi de personnaliser chaque démarche, car ce qui fonctionne bien avec un client ne fonctionne pas forcément avec un autre. Pour cette raison, tout au long de ma carrière, j’ai tenté d’élargir le plus possible ma connaissance des différents outils et approches.

Sur ce site, dans la section Références, vous y trouverez certaines de mes sources d’inspiration dans ma façon d’intervenir.

Pour établir le cadre de la démarche, je m’inspire beaucoup de ce que j’ai appris dans ma formation en coaching. Dès le départ, nous allons établir des objectifs et un plan pour nous assurer de l’efficacité de la démarche.

Mes clients disent souvent de ma manière d’intervenir que je les pousse à la fois dans la réflexion et dans l’action. 

Un professionnel n’étant pas conseiller d’orientation peut répondre à vos attentes de la même manière qu’un conseiller d’orientation peut ne pas y répondre. De plus, chaque conseiller d’orientation a sa propre approche, ce qui le différencie de ses collègues.

Toutefois, vous devez savoir que le titre de conseiller d’orientation est un titre protégé de la même manière que celui de médecin ou d’avocat.

Ce titre vous assure une protection de l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec (OCCOQ).

Il vous permet d’avoir un recours, s’il y avait une négligence de la part du professionnel, ce qui ne s’avère pas le cas dans un autre type de démarche.

Pour appartenir à cet Ordre, nous devons détenir des études de deuxième cycle (maîtrise) dans une formation reliée à cette spécialité.

Nous devons également être soumis à des inspections professionnelles et nous adonner à de la formation continue.

Tous les conseillers d’orientation appartiennent à une base commune. Nous appartenons au même Ordre et devons respecter le même code de déontologie.

Mais par ailleurs, chaque conseiller d’orientation a sa vision, son approche et sa personnalité, ce qui pour les clients, leur assure l’accès à une grande diversité de services.

Je vous recommande de poser des questions à plusieurs professionnels avant d’arrêter votre choix. Surtout, écoutez-vous. Comme dans toute relation humaine, parfois, la chimie opère, parfois, non.

Il serait dommage parce que vous n’avez pas aimé une expérience en particulier ou la façon de pratiquer d’un individu que vous remettiez en question au complet l’ensemble de cette profession.

Il n’existe pas une réponse unique à une telle question et la réponse vous appartient.

À ce sujet, j’aimerais ajouter que l’origine d’une problématique d’orientation est souvent d’ordre psychologique. Pour cette raison, j’ai développé mon approche de manière à me sentir outillé et à l’aise à aborder la dimension psychologique lors de mes rencontres.

Il arrive très souvent que le cadre de la démarche dépasse strictement celui du travail. Lorsque nous cherchons un sens au rôle que nous voulons jouer, nous ne pouvons nous restreindre à un champ précis. 

Je me passionne depuis plusieurs années pour la psychologie et à l’intervention. Je travaille depuis plusieurs années comme consultant en psychologie organisationnelle et j’enseigne la psychologie à l’Université. Par contre, je ne porte pas pour autant le titre de psychologue.

Si jamais nous nous apercevons que la démarche ne correspond pas à vos besoins du moment et qu’il m’est alors impossible de vous faire progresser dans votre démarche, c’est avec plaisir que je vous aiderai à identifier la meilleure ressource pour vous.

Pendant longtemps, l’appellation de conseiller d’orientation semblait réservée au domaine scolaire et aux jeunes. Il est important de savoir que le champ de pratique de notre profession s’est étendu de manière considérable.

À mes yeux, il n’est jamais trop tard pour entreprendre des changements dans votre vie.

Chaque âge comporte ses défis et ses enjeux. Le cadre de la démarche s’adapte alors en fonction de vos besoins.

À l’adolescence, l’identité est en pleine formation. Il y a de grandes différences d’une année à l’autre à cet âge. Pour cette raison, les objectifs ne peuvent pas être les mêmes que pour un adulte.

Par exemple, pour un jeune de 15 ans, il m’apparaît difficile d’avoir comme objectif avec lui d’identifier de manière précise la profession qu’il va exercer jusqu’à la fin de ses jours.

Par contre, nous pouvons ensemble démystifier le système scolaire et le marché du travail. Nous pouvons identifier des pistes pour découvrir sa personnalité et les grands secteurs dans lesquels il pourrait éventuellement se diriger.

Très souvent, l’effet d’une telle démarche est de faire baisser le niveau d’anxiété d’un jeune qui aurait tendance à s’en faire beaucoup ou de l’aider à donner un sens à ses études et le motiver à l’effort afin d’atteindre ses buts. 

La démarche est avant tout celle de votre enfant. Plus il se sentira en confiance et libre dans ce processus, le plus profitable pour lui sera mes services. Dans bien des cas, ce processus symbolisera une première étape dans sa vie d’adulte et vers l’autonomie. 

Votre enfant n’osera peut-être pas se confier de la même manière s’il y a un de ses parents à ses côtés.

Pour cette raison, il sera crucial que je puisse m’entretenir de manière individuelle avec votre enfant. Du moins, dans les premiers moments de cette démarche.

De plus, pour respecter la confidentialité, il me sera impossible de transmettre toute information au sujet des échanges qui auront lieu lors des consultations sans le consentement de votre enfant.

Par contre, s’il le désire, votre enfant peut m’autoriser à partager cette information auprès de vous, soit en totalité ou en partie. Ce consentement de sa part doit être clair, sans ambiguïté et se faire lorsque je suis seul à seul avec lui.

Souvent, je réserve une période à la fin de la rencontre afin de faire un compte-rendu avec vous et votre enfant. Beaucoup de jeunes préfèrent que je résume où nous en sommes dans la démarche plutôt que de devoir le faire eux-mêmes.

Pour diverses raisons, il arrive que les enfants me demandent à ce que leurs parents assistent à certaines rencontres, surtout si elles seront consacrées à l’analyse d’un test psychométrique ou à la transmission d’informations pratiques sur le système scolaire ou le marché du travail.

Dans ces circonstances, vous serez invités à prendre part à la rencontre.

J’entends parfois des blagues circuler sur les tests d’orientation. « Le test de mon conseiller d’orientation m’a dit que je devais être trapéziste. »

Il est vrai qu’à une certaine époque, pendant longtemps, les gens avaient la perception que le conseiller d’orientation et son test allaient déterminer la voie à suivre à son client, un peu à l’image d’une voyante avec sa boule de cristal.

Par contre, la profession et la façon que le conseiller d’orientation joue dorénavant son rôle ont énormément évolué depuis.

Les tests continuent d’être des outils utiles, mais il faut toujours garder à l’esprit qu’ils demeurent seulement des outils. Les tests ont leurs limites et c’est justement dans la connaissance de ces limites que l’expertise du conseiller d’orientation prend toute son ampleur.

La façon de les utiliser fait également toute la différence dans leur pertinence. Malheureusement, un test, même un bon test, utilisé dans un mauvais contexte peut nuire grandement à sa réputation et à celle des tests en général.

De plus, il faut faire la distinction entre un simple questionnaire et un test. Le test doit respecter des normes scientifiques des plus strictes. Chaque test fait l’objet d’une mesure de validité et de fidélité.

L’interprétation des tests dans un cadre professionnel est un acte protégé et qui exige d’être membre d’un Ordre (l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation, l’Ordre des psychologues).

Pour ma part, lorsque j’utilise un test auprès d’un client, je clarifie d’abord avec lui ses attentes et nous déterminons ensemble l’objectif ciblé par cette démarche.

Il est impossible de savoir à l’avance toutes les questions qui pourraient vous être posées dans ces entretiens.

Mais la préparation ne consiste pas à apprendre toutes les réponses possibles à des questions précises, mais à bien vous connaître et savoir comment vous présenter afin de vous rendre vous-même justice.

À l’aide d’échange et de simulation, nous allons établir le contenu de votre candidature et la façon de l’exprimer en entrevue.

Souvent, mes clients me disent qu’avec l’entraînement que nous faisons ensemble à mon bureau, leurs véritables entrevues leur ont même paru faciles.

Dans le domaine des sciences humaines, méfiez-vous de tout professionnel qui vous garantit des résultats.

L’être humain est d’une complexité infinie et l’univers dans lequel il évolue, l’est également. Pour cette raison, le professionnel se doit de demeurer humble dans le rôle qu’il jouera, même s’il est expérimenté et que par le passé, il a obtenu d’excellents résultats.

La démarche fait l’objet d’un travail d’équipe entre vous et moi. Partager les responsabilités d’un tel processus permet grandement d’augmenter les conditions de succès. J’ai une certaine expertise, mais vous demeurez la personne qui vous connaissez le mieux.

Il est important que vous preniez une part active dans la démarche. J’ai pris l’habitude de demander à la fin de chaque consultation, comment vous vous sentez dans la démarche et si vous considérez que l’objectif de la rencontre a été atteint.

Lorsqu’il y a une insatisfaction, le client a toujours avantage à le communiquer au fur et à mesure et directement auprès du professionnel afin que ce dernier puisse proposer d’autres manières de travailler et amener des changements dans le déroulement de la démarche.

Je ne peux vous garantir des résultats, mais je vous assure que je ferai tout pour vous venir en aide et agir de manière professionnelle et efficace.

Bien entendu!

Je suis tenu de respecter le code de déontologie de l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec (OCCOQ) qui vise la protection du public. Je prends très au sérieux ces règles dans mon travail..

Il m’arrive à l’occasion de rencontrer des personnalités publiques dans le cadre d’une démarche. Non seulement il m’est interdit de révéler le contenu des rencontres, mais le fait même que cette personne vient me consulter.

Il m’est arrivé d’utiliser un logiciel comme Skype pour de la consultation avec un client ou dans le cadre d’une évaluation de potentiel. Les résultats s’étaient avérés alors très satisfaisants.

Bien entendu, c’est loin d’être l’idéal, car bien que nous ayons l’image et le son, cette technologie ne pourra jamais prétendre équivaloir à une rencontre de personne en personne. Il y a même des services où cela risque de devenir encore plus ardu comme l’aide psychologique centrée sur les solutions.

Par contre, sous certaines conditions, lorsque nous n’avons pas d’autres moyens à notre disposition, il y a toujours possibilité d’utiliser ce mode de fonctionnement.

Certaines compagnies couvrent ses frais, mais pas toutes, malheureusement.

Il sera important de vérifier cette information en spécifiant que le professionnel avec qui vous voulez transiger appartient à l’Ordre des conseillers et conseillères d’orientation du Québec (OCCOQ).

À partir de mon bureau de Montréal, je peux offrir aussi des services pour une clientèle provenant de Longueuil ou de Laval. J'ai également un bureau à St-Côme pour répondre aux besoins des clients dans la région de Lanaudière. Je me situe à 30 minutes de la ville de Rawdon. Finalement, j'offre mes services à distance, ce que je suis amené à faire de plus en plus.